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Ecrit par Lise - Site
Après le déménagement de mon blog et le changement de nom de domaine, il restait encore pas mal de liens pointant vers mes anciens noms de domaine liseweb.fr et liseweb.info.
Lorsque nous avions transféré les fichiers de WordPress, nous avions modifié la majorité des liens directement dans les bases de données. Si le transfert d’un blog d’un serveur vers un autre est relativement aisé, un changement de nom de domaine l’est beaucoup moins. De nombreux liens n’étaient pas corrigés. D’une part parce que j’en avais saisis « en dur » sous des formes différentes, d’autre part, je renvoyais vers mon ancien site, La Page de Lise.
J’ai donc passé quelques heures aujourd’hui à remettre tout ça en ordre. J’ai utilisé un plugin, Better Search Replace, pour automatiser une partie de ce travail. Ce dernier permet de tester les changements avant de les effectuer réellement, ce qui, même après avoir réalisé une sauvegarde de la base de données, est plutôt rassurant.
Mais le fait que mes anciens liens n’aient pas tous été saisis de façon homogène m’a obligé à en actualiser une partie à la main.
Du coup, j’ai parcouru d’anciennes pages… en constatant, de façon amusée, que depuis les années 90, où j’avais créé mon premier site, La Page de Lise, la technique avait bien évolué 😉 Certes, j’ai actualisé également les liens sur La Page de Lise en me replongeant dans le html 😉 mais le site est bien d’origine 😉 Il est possible que vous trouviez encore quelques liens non mis à jour… n’hésitez pas à me les communiquer 😉 sauf ceux renvoyant vers PDACool, le site où avec Christine, nous avions commencé notre collaboration, histoire qu’elle raconte avec humour. En effet, PDACool n’est plus maintenu ; je dispose bien de tous les fichiers, mais le blog était sous Dotclear, et je n’ai pas pris le temps de m’atteler à ce CMS que je n’ai jamais administré. Un jour peut-être, je referai vivre PDACool 😉
J’ai donc remonté le temps, à partir de La Page de Lise, mais aussi en retrouvant mes anciennes pages photos 😉 et mes premiers articles qui ont déjà 10 ans !
Bien que regardant très rarement la télévision, j’ai suivi hier soir l’émission Envoyé spécial, les deux sujets annoncés m’intéressant.
Le premier portait sur les kebabs, que je ne mange jamais… les reportages d’hier soir ne m’inciteront pas à changer mes habitudes 😉
Le deuxième portait sur Google. Les informations communiquées n’ont fait que confirmer ce que je savais déjà : les services proposés par Google facilitent certes la vie des internautes, mais l’utilisation « tous azimuts » des données récoltées et le fonctionnement de l’entreprise, sous son aspect « gentil organisateur » ne servent qu’à accroître considérablement la valeur de ses actions…
J’ai cependant appris l’existence de deux moteurs de recherche, l’un américain, DuckDuckGo, l’autre français, Qwant, qui affirment ne pas nous « espionner » ni utiliser nos données.
DuckDuckGo peut être personnalisé ; il suffit de cliquer sur l’icône en haut à droite de l’écran. On peut ainsi spécifier le pays pour lequel on souhaite que les résultats s’affichent et la langue utilisée.
Qwant est nativement en français. Le moteur de recherche affiche les résultats en les classant : web, actualités, réseaux sociaux. Sa politique est clairement indiquée et l’on peut facilement contacter le site.
Je verrai à l’usage si les résultats de ces deux moteurs de recherche sont aussi complets que souhaités.
Opera permet de spécifier le moteur de recherche par défaut. Pour ce faire :
On peut ajouter manuellement un autre moteur de recherche en cliquant sur le bouton « Gérer les moteurs de recherche ». Le moteur de recherche apparaît alors lorsqu’on saisit un mot dans la barre de recherche, mais Qwant ne s’ouvre pas. J’ai créé deux vignettes dans la page des accès rapides (dernière image).
Safari permet également de spécifier le moteur de recherche par défaut. Pour ce faire :
J’ai configuré de la même façon DuckDuckGo sous Opera sur l’iPhone, en choisissant le pays pour lequel je souhaite afficher les résultats et la langue utilisée. J’ai également créé deux vignettes pour accéder rapidement aux deux moteurs de recherche.
L’application DuckDuckGo existe pour Android et iPhone. On peut de la même façon que précédemment la personnaliser. L’application se comporte comme un navigateur. On peut accéder aux versions mobiles des sites web quand elles sont disponibles et basculer vers la version navigateur.
Assez souvent, je suis sollicitée par des annonceurs pour publier des articles avec des liens vers leurs produits ou des échanges de liens. De manière générale, j’ignore ces messages…
Récemment, j’ai reçu un mail dont le contenu était le suivant :
Je me demandais si vous seriez intéressés par l’insertion d’un article sur liseweb.fr ? L’idée serait de placer un lien discret vers le site de mon client dans cet article. Vous pouvez bien entendu le rédiger vous-même si vous le souhaitez.
L’article en question porterait sur le BYOD.
J’avoue mon ignorance, je ne savais pas ce que signifiait le BYOD, je suis donc partie à la recherche d’informations. La définition qu’en donne Wikipedia est la suivante :
BYOD (abréviation de l’anglais « Bring your own device » : « Apportez vos appareils personnels » ; en français : PAP, abréviation de « Prenez vos appareils personnels » ou encore AVEC, abréviation d’« Apportez votre équipement personnel de communication » est une pratique qui consiste à utiliser ses équipements personnels (téléphone, ordinateur portable, tablette électronique) dans un contexte professionnel.
Intéressée par le sujet et les problématiques que pose le BYOD en milieu professionnel, j’ai demandé qu’on me précise dans quelles conditions cette collaboration s’effectuerait. La réponse qui m’a été apportée a de quoi laisser songeur…
Comme je vous le disais dans mon premier mail, l’article porterait sur le BYOD et ferait environ 500 mots. Il contiendrait un lien en do follow vers le site de mon client ainsi qu’une vidéo YouTube et un ou deux autres liens externes vers des sites non commerciaux.
Nous souhaiterions si possible qu’il n’y ait pas de mention « sponsorisé » ou « partenaire ».
J’ai répondu à mon interlocutrice que par honnêteté à l’égard des lecteurs du blog je souhaitais que la mention « article sponsorisé » apparaisse.
En retour, j’ai reçu le message suivant :
Malheureusement mon client ne souhaite vraiment pas que la mention « sponsorisé » apparaisse.
Seriez-vous prête à l’abandonner si nous vous envoyons le nom de l’auteur, ainsi qu’une courte biographie ?
Vous pourriez ensuite utiliser une mention du type « article rédigé par nom de l’auteur » ou « article rédigé en collaboration avec nom de l’auteur »
Qu’en pensez-vous ?
Etonnée tout de même par la réponse 😉, je me suis documentée sur ce qu’était un article sponsorisé et les obligations pour un webmestre. Un premier article de Wikipedia m’a apporté quelques éléments mais surtout celui de BeeGeek, Les billets sponsorisés hors la loi ?.
Après quelques tâtonnements, j’ai trouvé les références législatives sur le site de Légifrance que j’ai aussitôt adressées à mon interlocutrice :
L’histoire n’est pas tout à fait terminée, puisque je n’ai pas encore reçu de réponse définitive de ma correspondante, mais elle confirme que la vigilance s’impose, aussi bien pour les webmestres que pour les internautes…
En tout état de cause, tous les articles rédigés sur Le Blog de Lise le sont de notre plein gré 😉, personne ne nous tient la main !
Je reçois, comme beaucoup, de nombreux spams. J’évite de donner mon adresse mail, notamment sur les sites web qui la rendent obligatoire pour recevoir des infos.
Jusqu’à présent, j’utilisais une adresse sur jetable.org. A chaque fois que j’avais besoin d’une adresse éphémère, j’en créais une sur jetable.org.
J’ai découvert récemment Yopmail. Il suffit de créer une adresse, par exemple nimportequoi@yopmail.com. Elle est immédiatement opérationnelle. Les messages sont supprimés au bout de huit jours. Evidemment, pour être certain que l’adresse ne sera pas vérifiée par un autre internaute, il faut en imaginer une que le premier venu n’aura pas l’idée de tester !
De surcroît, Yopmail offre un alias unique pour chaque adresse. Par exemple, celui de l’adresse nimportequoi@yopmail.com est alt.gq-bo6v0rgt@yopmail.com. On peut donc saisir cet alias sur un site web sans communiquer son adresse yopmail.
Mon iMac mi-2011, avec ses 4 Go de mémoire ramait vraiment beaucoup ! Je m’étais un temps demandée si je n’allais pas acheter un nouvel iMac avec Fusion Drive et 8 Go de mémoire. Mais le prix, même depuis le refurb, me semblait un peu élevé !
Je trouvais que près de 1 500 € pour remplacer un iMac acheté en 2012 constituait une dépense un peu inutile ! 4 barrettes de 4 Go revient à environ 10 % du prix d’un nouvel iMac ! Après avoir consulté la documentation en ligne sur le site d’Apple, j’ai commandé sur MacWay 2 fois 8 Go.
Et dans les faits, c’est aussi simple que ce que la documentation précise, pas besoin d’être un informaticien accompli !
Et voilà, j’ai un ordinateur qui sort de veille illico, et des applications qui démarrent au quart de tour !
Je me suis penchée un peu plus sur la gestion de la mémoire sous Mac OS X Maverick. Le système d’exploitation utilise le maximum de mémoire disponible. Les applications en arrière-plan sont compressées, puis décompressées rapidement lors d’une utilisation ultérieure. Les copies d’écran ci-dessous montrent de façon « impressionnante » la quantité de mémoire utilisée en arrière plan !
Remarque : il n’est pas possible d’ajouter des barrettes mémoire sur des iMacs récents, pour lesquels il est nécessaire de passer par un Apple Store ou un centre de services agréé Apple.
Prise par de multiples activités 😉 je commande assez souvent sur Internet, m’évitant ainsi des déplacements.
Les derniers sites sur lesquels j’ai commandé divers articles m’ont plus ou moins satisfaite ! Je fais part ici de mon expérience !
Pearl propose des articles intéressants à des prix très compétitifs. Si les produits ne sont pas du haut de gamme (on ne peut pas tout avoir !), de manière générale, je suis assez satisfaite des objets reçus. Les descriptions sont conformes aux produits. La livraison dans un relais colis est rapide et peu onéreuse.
Le service après-vente est très réactif, les échanges rapides, les réponses appropriées, les frais de retour, lorsque les objets sont sous garantie, sont pris en charge par Pearl très simplement. Dans le cas d’objets défectueux, les produits de remplacement sont même envoyés avant que leur retour ne soit demandé (il m’est arrivé qu’on ne me demande même pas de les réexpédier ; pour de petits objets, je suppose que les frais de traitement sont plus onéreux que le remplacement des produits).
Les derniers produits que j’ai commandés sont vraiment très bien et d’un rapport prix-qualité très compétitifs.
MacWay, dont j’ai déjà parlé ici, me déçoit ; outre la qualité pas toujours au rendez-vous, le service après-vente est assez peu coopératif… si sa réputation était assez bonne parmi les utilisateurs Apple, je constate que tirer sur les prix se traduit par des produits souvent défectueux.
Si le service d’Orange est, globalement, de qualité, comme avec tous les fournisseurs d’accès Internet,
il est nécessaire d’insister pour se faire entendre ! Cela va bientôt faire un mois que je conteste un montant prélevé à tort, j’attends encore que ma demande soit satisfaite ! J’étais très mauvaise langue, le remboursement vient d’être effectué sur ma dernière facture ! (ajout du 26 mars)
Si habituellement, je me rends dans un magasin Sephora, par manque de temps, j’ai effectué une commande par Internet. Voulant profiter d’une promo, j’avais commandé un flacon d’eau de parfum de 100 ml ; j’en ai reçu un de 75 ml ! Bien qu’il se soit agit d’une erreur de Sephora, j’ai dû réexpédier le produit, en attendre le remboursement ainsi que celui des frais de retour, avec en réponse à mes messages : le produit est indisponible, mais vous pouvez vous rendre dans un magasin Sephora !
Je ne commandais plus sur Rue du commerce depuis plusieurs années. Attirée par une promotion 😉 j’ai effectué une commande, qui devait être livrée par Delamaison. Le produit présenté sur le site Rue du commerce ne correspondait pas à celui livré par Delamaison. Il m’a fallu des semaines pour qu’enfin le produit me soit remboursé par Rue du commerce, celui-ci répondant dans un premier temps qu’il fallait traiter avec Delamaison, qui lui m’indiquait qu’il s’agissait d’une erreur de Rue du commerce !
Je n’avais pas non plus commandé sur Cdiscount depuis plusieurs années. Je n’ai rien à redire : des prix bas, une livraison rapide dans un relais colis…
Dans un tout autre registre, Les jardins de Gaia, site de thés bio propose des thés de qualité. Certes, ils sont un peu chers, comme d’ailleurs ceux du Palais des thés. Mais la livraison des thés commandés est rapide… Après, c’est bien évidemment une question de goût 😉
A la fin du mois d’octobre, j’avais souscrit à Orange Fibre, mon immeuble venant d’être câblé (en fait, l’immeuble avait été câblé depuis quelques années par Free ; du temps où j’étais abonnée chez cet opérateur, j’avais choisi une Freebox fibre optique ; mais Orange n’y avait pas encore installé ses propres boîtiers). J’ai donc bénéficié d’un tarif moins cher que pour l’ADSL, et étant abonnée Open, d’une heure de plus sur mon forfait mobile ! mais avec une limitation pour les données Internet sur le mobile !
Un rendez-vous avec un installateur avait été pris pour début décembre. Mais curieusement, le numéro du boîtier Free ne correspondait pas aux données dont disposait Orange. Le technicien est donc venu ce matin, soit près de deux mois après ma souscription ; celui-ci, dont la société est partenaire de plusieurs opérateurs, m’a indiqué qu’Orange avait des difficultés pour obtenir de Free les numéros des boîtiers optiques.
Bien qu’on m’ait demandé d’être disponible toute la matinée, l’installation n’a duré qu’une heure, l’appartement étant déjà relié à la fibre.
Après l’installation de base et le départ du technicien, je me suis attelée à la configuration du routeur de la Livebox. (Voir à ce propos les articles Livebox Orange ou Freebox ? et Filtrage d’adresses MAC avec une Livebox Orange, dans lesquels je donne les définitions des termes techniques employés ici.)
Si la configuration s’effectue toujours en local, contrairement à Free où le paramétrage se fait à distance sur les serveurs de l’opérateur, il est apparemment impossible de modifier l’adresse IP de la Livebox.
Autre bizarrerie, on accède à la fibre par un boîtier optique, lui-même relié à la Livebox. Le nombre de prises Ethernet étant identique à celui du boîtier ADSL, je perds un port pour un ordinateur !
Au cours de l’installation, le technicien m’annonce que je ne disposerai pas de ligne fixe avant l’après-midi (l’installation était terminée avant 10 h). Mais heureuse surprise, le téléphone Internet était activé dans l’heure !
L’attribution des adresses IP fixes est elle aussi curieuse. Dans certains cas, je peux choisir celle que je souhaite après avoir saisi l’adresse MAC, dans d’autres, je suis obligée de conserver l’adresse IP attribuée en DHCP, sans pouvoir la modifier pour l’appareil concerné. Certains appareils branchés en Ethernet, comme la Fonera, n’apparaissent pas dans la liste des connexions.
Dans les bizarreries, que ce soit avec iOS ou Mac OS, les appareils ne se configurent pas de façon identique. L’iPhone doit être en DHCP sinon il ne peut pas se connecter à Internet, alors que l’iPad peut être en IP statique ! Mon vieil iMac PPC sous Mac OS X Leopard, comme le MacBook Air sous Mac OS X Snow Leopard doivent être en DHCP, alors que l’iMac sous Mac OS X Moutain Lion peut être configuré en DHCP avec une adresse IP manuelle !
Après quelques tâtonnements, j’ai pu configurer assez facilement mon imprimante Epson AcuLaser C1750W en utilisant le mode WPS (WiFi Protected SetUp) : la saisie d’un code PIN généré par l’imprimante sur l’interface de la Livebox est tout ce qu’il faut faire !
L’aide accessible depuis l’interface de la Livebox est assez bien faite. On peut sauvegarder la configuration de la Livebox (identifiants, règles NAT, dynDNS…) dans un fichier sur son ordinateur. Encore faudra-t-il disposer d’une Livebox compatible avec le fichier sauvegardé !
Comme je l’avais constaté avec la Freebox, la vitesse de la fibre optique ne se fait sentir qu’avec des serveurs web suffisamment performants. Si l’affichage des pages web est effectivement plus rapide, pour les quelques téléchargements en FTP que j’ai effectués, le gain n’est pas probant.
Dans un précédent article la semaine dernière, au sujet de l’installation d’une Livebox, j’ai parlé de filtrage d’adresses MAC.
Avant d’expliciter le pourquoi et le comment du filtrage des adresses MAC, voici quelques définitions à destination de ceux qui ne sont pas familiers avec les termes que je vais employer par la suite.
L’adresse MAC est une adresse attribuée en usine à la carte réseau, l’adresse IP est attribuée de façon logicielle ; il est donc plus difficile d’usurper une adresse MAC qu’une adresse IP.
Le filtrage d’adresses MAC permet de contrôler plus précisément les ordinateurs se connectant à son réseau ; une machine peut se connecter au réseau si l’adresse MAC de sa carte réseau est autorisée par le routeur ; si cette carte n’est pas reconnue, l’ordinateur ne pourra pas se connecter. Le filtrage par adresse MAC est complémentaire au filtrage par adresse IP – voir une définition plus complète sur Wikipedia.
Si la case la case « Activer le serveur DHCP » reste cochée, par défaut, il est nécessaire d’attribuer une adresse de début et de fin ; si vous ne souhaitez pas que des adresses soient accessibles sans association avec une adresse MAC, il faut alors associer ces adresses IP à une adresse MAC. Dans l’exemple ci-contre, il faut donc associer les adresses 170.35.1.40, 170.35.1.41 et 170.35.1.42 à une machine.
Pour activer le filtrage MAC pour vos appareils WiFi, dans le panneau de configuration de la Livebox, dans la barre latérale, cliquez sur Paramètres Wifi puis cochez Activer le filtrage MAC. Cliquez sur le bouton Ajouter et indiquez l’adresse MAC des machines autorisées. Aucun autre appareil ne pourra se connecter en WiFi à votre Livebox.
Moins d’une semaine après avoir choisi de passer de Free à Orange, j’ai été avertie par SMS que les services Internet était activés. (Article mis à jour le 31 octobre 2010 @ 16:55.)
Dès ce week-end, je me suis empressée d’installer la Livebox et le décodeur TV. Bien que la documentation d’Orange soit très claire, et bien que le site d’assistance le soit également, j’ai tout de même passé quelques heures à réaliser mon installation !
Alors que la configuration du réseau local s’est effectuée rapidement (tous mes ordinateurs étaient « visibles » sur le réseau), un message m’indiquait que la ligne ADSL n’était pas synchronisée. J’ai mis longtemps à comprendre que le message du panneau de configuration précisait de débrancher/rebrancher le câble téléphonique au filtre ADSL et non pas l’alimentation électrique 😉
La connexion du téléphone Internet s’effectue facilement, il suffit de lire le mode d’emploi pour savoir que la ligne est d’abord accessible en émission, la réception d’appels se faisant sur la ligne France Télécom. Quelques heures après le branchement du téléphone, la désactivation de la ligne France Télécom et la réception des appels via la Livebox sont effectives.
La connexion du décodeur TV a nécessité un redémarrage de la Livebox.
Cela fait plusieurs années que je disposais d’une connexion avec une Freebox, je trouve que la Livebox est plus « pro ».
En effet, la Livebox :
Même si en raison du succès de l’offre Open, le service client Orange est difficilement joignable (j’ai essayé sans succès hier à deux reprises, avec un temps d’attente de 10 minutes la première fois, puis 15 minutes la seconde), l’assistance en ligne offre de nombreuses solutions et il est possible de remplir un formulaire en direction du service technique (options auxquelles j’avais accès, puisque ma Freebox n’était pas désactivée !)
Il y quelques mois, j’avais opté pour une Freebox optique ; avec la Livebox ADSL, je ne vois pas vraiment la différence… effectivement, si les serveurs Internet eux-mêmes sont « bridés », le gain est sans doute minime.
J’avais donné, il y a déjà un bon moment sur PDACool, quelques indications en matière de sécurisation des connexions sans fil.
Voici quelques éléments que j’estime essentiels :
Bien sûr ces quelques recommandations ne constituent pas une protection absolue, mais ajoutées les unes aux autres, elles peuvent sinon éviter, au moins ralentir une intrusion éventuelle.
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