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Ecrit par Lise - Site
Le Dell Inspiron mini 9 est livré avec Gnome et le pilote permettant de synchroniser un Palm. Mais Gnome n’est pas aussi efficace que JPilot, que j’utilise désormais.
Il faut tout d’abord faire reconnaître le Palm par Ubuntu. Pour ce faire :
C’est tout !
Pour synchroniser le Palm, il faut dans l’onglet Conduites activer celles que l’on souhaite.
Pendant quelques jours j’ai utilisé Gnome pour synchroniser mon Tréo 680 avec Evolution comme Calendrier et client de messagerie. Evolution ne dispose pas de catégories pour les applications PIM (1). Quant au client de messagerie, il ne dispose pas des options dont j’ai besoin : limiter la quantité de données téléchargées, ne relever qu’un seul compte,…
De plus, entre la synchronisation avec le MacBook et le PC sous Ubuntu, des événements et de nombreux contacts étaient dupliqués.
Sur les conseils de PEG et de fede, de l’équipe de PDAcool (toujours vivante, même si elle ne produit plus aucun article 😉 ), je me suis lancée dans l’installation de JPilot. Malgré leurs indications, je ne m’en suis pas sortie 😉
Lors d’un repas que nous avons organisé entre les Parisiens de PDACool, pour fêter le début de l’année, fede m’a gentiment installé et configuré JPilot. Mais comme tout Linuxien qui se respecte 😉 il a tout exécuté en ligne de commandes, et je n’ai pas suivi grand chose ! fede m’a envoyé un message expliquant la marche à suivre. J’espère que ces indications vous seront utiles, mais en cas de difficultés, je serai dans l’incapacité de vous dépanner !
Voilà donc les explications de fede.
Depuis le premier Visor Deluxe – ça remonte déjà à 1999/2000 – le seul et unique moyen de faire reconnaître par le système GNU/Linux les Palms sur port USB – ou tout autre clone qui se branche par cette méthode – consiste à insérer dans le noyau le module « visor » qui dépend du module « usbserial » lui même dépendant du module « usb-ohci » ou « usb-uhci » suivant la carte mère qui elle-même etc….
Pour pouvoir effectuer l’installation complète de J-Pilot et la synchronisation avec un Palm sur port USB, il faut procéder donc en plusieurs étapes :
REMARQUE : il faut être « root » pour effectuer la plupart des installations / paramétrages, mais dans tous les systèmes récents et de type « *buntu » on peut le faire via Sudo et le(s) compte(s) utilisateur(s) autorisé(s) à administrer le système. La suite des commandes se fera en passant par sudo (d’où la présence du « $ » rappelant la fin du prompt à l’écran du terminal).
Attention, en accédant au compte root, on peut tout faire, donc aussi casser son système ! Agir avec prudence !
1° Ouvrir un terminal (Applications > Terminal) ou se loguer sur un des terminaux.
2° Insérer le module visor dans le noyau avec tous les autres modules dont il dépend :
$ sudo modprobe visor |
$ sudo modprobe visor
3° Editer le fichier qui va insérer à chaque redémarrage le module visor et ses sous-modules, avec l’éditeur avec lequel on est le plus à l’aise, le mot « editeur » peut s’appeler gedit, mousepad, vi, emacs, xemacs, etc….
$ sudo "editeur" /etc/modules |
$ sudo "editeur" /etc/modules
Dans ce fichier ouvert, ajouter à la fin la ligne (ou les lignes) :
usbserial visor |
usbserial visor
4° Vérifier que toutes les sources des paquets debian sont disponibles pour l’installation de JPilot en éditant le fichier /etc/apt/sources.list et en décommentant les lignes commençant par # deb (pas par # deb-src ça ne sert à rien pour une simple utilisation) :
$ sudo "editeur" /etc/apt/sources.lit |
$ sudo "editeur" /etc/apt/sources.lit
5° Si les sources ont été ajoutées à l’étape 4, il faut remettre à jour la liste des paquets disponibles pour l’installation :
$ sudo apt-get update |
$ sudo apt-get update
6° Ajout des paquets nécessaires : pilot-link, jpilot, et les facultatifs mais néanmoins intéressants jpilot-plugins, jpilot-backup :
$ sudo apt-get install pilot-link jpilot jpilot-plugins jpilot-backup |
$ sudo apt-get install pilot-link jpilot jpilot-plugins jpilot-backup
7° Une fois tout installé, ce n’est pas nécessaire, mais on peut nettoyer le disque de l’espace occupé par le téléchargement des différents paquets :
$ sudo apt-get clean |
$ sudo apt-get clean
8° Voilà ! C’est fait. On peut finir par une dernière opération pour vérifier sur quel port USB (au sens linux) est reconnu le Palm. Il suffit de le brancher en faisant attention qu’il soit bien connecté (le coup du tire-bouchon sous la prise), appuyer sur l’icône de déclenchement de la hotsync sur le Palm et 2 à 3 secondes plus tard, depuis la console :
$ pilot-dlpsh -i -p /dev/ttyUSBx |
$ pilot-dlpsh -i -p /dev/ttyUSBx
en essayant sur 0 puis 1 au lieu de x jusqu’à ce que le Palm soit reconnu ; le Tréo 680 est reconnu sur /dev/ttyUSB1. Ce test est important car ainsi dans la configuration de JPilot, on pourra saisir directement cette valeur dans les préférences de JPilot.
Une fois tout ceci fait, y’a plus qu’à lancer JPilot !
Même si on ne souhaite plus utiliser Gnome, JPilot a besoin que le Palm soit reconnu du système ; il doit donc être ajouté comme je l’ai indiqué au début de l’article avec Gnome.
Pour synchroniser le Palm avec JPilot, lancer la synchro depuis le Palm, puis 3-4 secondes plus tard, cliquer sur l’icône HotSync de JPilot.
En conclusion si vous avez un Palm, n’hésitez pas, passez à JPilot !
Dès qu’un problème réseau apparaît sur une machine, les informaticiens lancent des commandes en mode terminal. Sous Mac OS et Ubuntu, pas besoin de ligne de commande, on peut déjà effectuer un premier diagnostic en mode graphique.
En mode DOS, il faut lancer la commande ipconfig ou ipconfig all pour voir s’afficher les adresses IP (1) utilisées et les adresses MAC (2) des différentes cartes réseau.
On peut également lancer un Terminal et saisir la commande ifconfig.
On peut aussi lancer l’utilitaire réseau (Applications > Utilitaires > Utilitaire de réseau qui permet d’accéder, en mode graphique à tous les outils : Traceroute (pour vérifier le chemin suivi jusqu’à une adresse IP), Ping (pour vérifier que la connexion est établie), Whois (pour vérifier le nom du propriétaire d’une adresse IP),…
Il existe une petite application MenuMeters que Romain a décrite dans un article sur PDACool dans le paragraphe Le Dock et la Barre de Menus.
D’un clic sur l’icône, on peut vérifier l’activité de chacune des connexions réseau.
Sous Linux, on peut bien sûr lancer un Terminal et saisir la commande ifconfig qui affiche l’ensemble des adresses IP et MAC. Sous Ubuntu, il suffit d’effectuer un clic droit sur l’icône affichant le réseau puis de cliquer sur Afficher les informations.
Les connexions réseau sous Ubuntu sont aussi simples à mettre en œuvre que sous Mac OS X 😉
Lorsqu’on clique sur l’icône réseau sans fil, le nom des différents réseaux disponibles s’affiche. Il suffit sans doute de choisir le sien en cliquant sur le bouton radio. Le mien n’apparaît pas, car j’ai fait le choix qu’il ne broadcaste pas, c’est-à-dire qu’il n’envoie pas les informations du réseau sans discontinuer.
Il faut alors cliquer sur Se connecter à un autre réseau sans fil et saisir ses paramètres, l’identifiant du réseau (SSID) et le mot de passe associé. Le réseau est mémorisé et le Dell mini s’y connecte automatiquement quand il « rentre au bercail » ou sort de mise en veille ! voire même au démarrage après un petit délai.
Pour désactiver/réactiver la connexion WiFi, utilisez la combinaison de touches Fn + 2.
Ajout du 9 janvier :
Il est également possible de désactiver la connexion WiFi en effectuant un clic droit sur son icône puis en décochant Activer la connexion réseau.
Pour faire communiquer deux appareils en Bluetooth, il faut d’abord les jumeler. Les connexions Bluetooth sont parfois capricieuses. Je n’ai pas réussi à connecter le MacBook depuis le Dell mini, mais depuis le MacBook, la connexion s’est faite sans encombre. La même chose s’est produite lorsque j’ai jumelé le Tréo et le Dell mini.
Pour jumeler deux appareils depuis Ubuntu :
Pour jumeler deux appareils depuis Mac OS X :
Afin de rendre un peu plus fiable cette connexion, il vaut mieux, bien sûr, saisir un mot de passe lors du jumelage (ce qui n’apparaît pas dans les images suivantes, les appareils étant déjà jumelés !)
On peut transférer des fichiers en cliquant sur l’icône Bluetooth puis sur Envoyer un fichier, mais cette méthode ne permet de traiter qu’un fichier à la fois.
On peut aussi sélectionner plusieurs fichiers dans le gestionnaire de fichiers ; après avoir effectué un clic droit sur ces derniers, il suffit de cliquer sur Envoyer à… et de choisir le périphérique distant.
N’oubliez pas d’accepter les fichiers entrants sur l’autre ordinateur !
Remarque : la connexion Bluetooth semble ne pas pouvoir être désactivéeLorsque la connexion Bluetooth est active, le Dell mini reste cependant invisible. Dans les préférences accessibles depuis l’icône Bluetooth, j’ai également limité le temps de visibilité lorsque je veux le rendre détectable pour le jumeler à un autre périphérique.
Pour désactiver la connexion Bluetooth comme la connexion WiFi, utilisez la combinaison de touches Fn + 3, puis décochez les cases concernées.
Que les ordinateurs soient connectés sur un même réseau en Ethernet (réseau filaire que je n’ai pas testé) ou en WiFi, le principe est le même.
Vous remarquerez sur les images que l’échange de fichiers est sécurisé (sftp) entre les deux ordinateurs, qui tournent tous les deux sur une base UNIX, je ne sais pas s’il en est de même avec un ordinateur sous Windows.
Pour vous déconnecter, effectuez un clic droit sur le dossier puis sur Démonter le volume.
Pour vous connecter à un serveur distant, par exemple le serveur FTP (File transfert protocol) pour transférer des fichiers vers votre blog !) :
Vous pouvez créer un signet de façon à rappeler cette connexion plus facilement, soit en créant la connexion et en cochant la case Ajouter un signet, soit ultérieurement en cliquant dans la barre de menu sur Signets > Ajouter un signet.
Pour vous déconnecter, effectuez un clic droit sur le répertoire concerné, ou depuis le bureau, cliquez sur l’icône puis sur Démonter le volume.
J’avais écrit, quelques mois après avoir acquis mon premier Mac, un iBook, un article intitulé L’iBook, compagnon ou remplaçant du PDA ?
Je me repose aujourd’hui la question 😉
Abonnée au journal Les Echos pour des raisons professionnelles, je me connecte, chaque matin, sur le site web du quotidien. Jusqu’à très récemment, j’effectuais ma sélection d’articles sous Shiira, navigateur pour Mac OS écrit en cocoa. Puis je réalisais un fichier sous NeoOffice avec les articles choisis, que je transformais, grâce à iSilo en fichier compatible avec le PDA (Symbian OS du temps où j’utilisais le Nokia 6630, Palm OS depuis que je dispose du Tréo 680). Après avoir synchronisé mon smartphone, je pouvais, dans le métro, lire « mon » journal.
Ces derniers jours, en raison de contraintes horaires plus difficiles à gérer, j’ai, plus simplement, téléchargé l’édition PDF du journal.
Bien que la place prise par le MacBook soit plus conséquente que celle du Tréo (mais heureusement, si je peux dire, je fais une bonne partie de la ligne de métro, à l’aller comme au retour, je suis donc assise), je gagne du temps 😉 D’une part, au lieu d’y passer chaque matin une vingtaine de minutes, j’y passe moins de 5 mn. Et puis, la lecture est beaucoup plus confortable et je lis plus vite 😉
Je vais finir par considérer qu’un simple téléphone me suffirait amplement au lieu d’espérer le smartphone qui me comblerait 😉 J’attends avec impatience l’équivalent d’un tablet PC sous Mac OS ! Le MacBook Air en prend le chemin, mais ce dont je rêve, c’est un ordinateur léger et communiquant, entre un iPhone et un MacBook !
Je connais notre amie Lise depuis quelques années déjà. Notre première rencontre date du temps de PDACool, le site qui disait « Bienvenue sur la planète Palm OS ». J’étais, pauvre fille, pauvre newbie (j’avais alors carte blanche pour apposer une cerise de culture sur le gateau palmosphérique), seule de mon espèce dans l’équipe d’experts mâles, réunis sous la bannière de PDACool. Heureusement, Lise vint…
Lise, à cette époque, se faisait remarquer sur la liste Palm.fr, où elle tenait la dragée haute à ces beaux messieurs. [Elle n’est pas commode, Lise, quand il s’agit de défendre ses idées ! Elle ne lâche pas facilement le morceau !]. Je me souviens d’avoir susurré à ces beaux messieurs que Lise ferait merveille dans notre fine équipe. Elle l’a fait. Une experte femelle ! Ils n’en revenaient pas.
Rigueur, méthode, juste ce qu’il faut de sérieux, Lise imprimait à PDACool un nouveau pli. Nous nous régalions, pendant ce temps, du climat de joyeuse gaudriole qui régnait sur le forum interne de l’équipe. Une ou deux fois par an, nous nous retrouvions pour sortir en bande à Paris, par exemple à la Palm Partie de l’automne, ou dans un restaurant thai, ou encore dans un petit bistrot près de chez Lise. C’est à l’occasion d’une telle sortie que j’ai rencontré Lise pour la première fois en chair et en os (elle est toute frêle !). Tout se faisait, le reste du temps, via Internet.
Nous travaillions collectivement sous SPIP, programme bien connu d’édition et de publication en mode collaboratif. Oh ! les incommodités de SPIP ! Il fallait composer sous Dreamweaver avant de transférer « le source » sur SPIP… Et SPIP, alors, mettait le bazar… De quoi tourner régulièrement en bourrique.
A propos de bourriques… Lise et moi écrivions de plus en plus d’articles, et ces messieurs les validaient (nous soutenaient moralement :-). Puis Lise a été adoubée co-administratrice de PDACool, et moi aussi. Lise et moi, désormais, écrivions la plupart des articles, puis les validions, de façon croisée. J’ai quitté la galère sur un coup de tête. Lise est restée, jusqu’à ce que PDACool se saborde, en même temps que l’étoile du Palm OS s’éteignait. La création du blog PDACool, actuellement inactif, n’a pas pu faire renaître l’esprit d’une époque révolue.
Pendant que s’accomplissaient ces funestes événements, Lise peaufinait déjà La page de Lise, son premier site perso. Déjà, La Page de Lise était verte, d’un vert pétant, façon grenouille. Elle a, depuis lors, mis de l’eau (et du pschitt !) dans son vert. Déjà, sur sa Page verte, Lise dispensait de façon bien ordonnée une foule de conseils, relatifs à la pratique de l’informatique ainsi qu’à l’usage de Mac OS, Palm OS, Symbian. Lise venait en effet de s’équiper d’un premier Mac ainsi que d’un premier smartphone sous Symbian. Déjà aussi, Lise se passionnait pour la photographie et commençait à publier sur sa Page de superbes clichés, rapportés de ses nombreux voyages. Le nombre de ses lecteurs augmentait rapidement.
Nous marchions de concert, elle devant, moi loin derrière. Pendant que Lise développait sa Page verte, je débutais de mon côté La dormeuse, mon premier site perso. Nous restions of course en contact. Je venais de switcher sur Mac. Elle m’a convaincue d’adopter le même smartphone sous Symbian. De quoi, par mail, discuter boutique. Le temps passait agréablement…
Puis Lise m’a annoncé qu’elle venait de créer Le Blog de Lise, conçu comme une évolution de sa Page antérieure. Elle a prononcé le mot « WordPress ». J’admirais de loin. Je connaissais bien sûr WordPress de réputation, mais c’était pour moi du chinois. Elle a attendu quelque temps, histoire de ferrer le poisson. Puis elle tiré sur la ligne : « Tu devrais te lancer aussi. On mettrait notre expérience en commun… ». Elle sait se montrer persuasive, Lise ! J’étais fichue.
Je me suis mise à WordPress. J’ai créé mon propre blog. Le contenu, au début, flottait un peu. J’ai ainsi publié sur La dormeuse blogue, quelques premières bricoles (supprimées depuis lors) relatives à l’usage du Mac et du Pocket PC. C’est là que Lise est revenue ! « Et si tu les publiais plutôt sur mon blog ? Ce serait bête de développer des sites qui doublonnent ? » Elle avait raison. J’ai suivi. C’est ainsi qu’un bon webmaster recrute ses collaborateurs.
Je raconte ici l’histoire d’une amitié, mais aussi celle d’une aventure éditoriale qui réussit. La réussite du Blog de Lise, qui atteint aujourd’hui le nombre de 300 000 visiteurs, tient essentiellement à la personnalité de son créateur et administrateur, je veux parler de Lise herself. Rigueur, méthode, juste ce qu’il faut de sérieux, mais aussi goût des relations humaines, assorti du pouvoir de convaincre et de persuader. De la belle ouvrage.
Respect, Lise, et longue vie au Blog de Lise !
A l’occasion du hard reset que j’ai dû effectuer récemment, je me suis replongée dans les délices de la configuration de mon Tréo 680. Je ne sais pas si je me laisserai tenter par le nouvel iPhone, mais contrairement à Christine, toutes ces manipulations me semblent un peu pénibles 😉
J’ai envie d’avoir un appareil qui fonctionne et qui me rende les services attendus, un point c’est tout ! Mais les appareils et autres gadgets électroniques demandent un minimum de configuration !
Après donc mon hard reset, j’ai remis certains logiciels à jour, dont Butler. La version actuelle est la 4.87, mais après l’avoir installée, j’ai effectué la mise à jour avec la beta 4.91 qui apporte un peu plus de rapidité.
J’ai décrit Butler dans d’autres articles, dont un sur l’ancien site de PDACool et un autre sur le blog. Cette version apporte quelques nouveautés sympathiques, mais la raison essentielle pour laquelle j’utilise Butler, c’est qu’il signale les appels, les alarmes, les messages manqués.
Il est possible de mettre en place plusieurs « sets » d’alarme, de spécifier quant être alerté et sur quelle période, de choisir comme alarme une de celles du Tréo, ou bien des MP3.
On peut également indiquer quelle doit être la couleur de la LED signalant la survenue de messages.
Il est possible d’attribuer des touches aux applications favorites qui se définissent dans l’application téléphone, mais je préfère utiliser PetitLaunch.
On peut aussi utiliser les boutons destinés à régler le volume pour faire défiler du texte, choisir quelle touche attribuer à une application, et définir le délai de prise en compte d’un double appui sur un bouton.
Lorsqu’on allume le Tréo, pour éviter tout appel ou manipulation non désiré, il est nécessaire d’appuyer sur le bouton central. Palm offre une petite icône que Butler remplace par un écran opaque. On peut chosir de quelle façon, de quelle couleur il s’affichera, d’afficher ou non l’heure, la date,… un message pour déverrouiller le téléphone.
Il est également possible de bloquer le téléphone par SMS.
On peut réactiver la barre de commande, qui n’est plus accessible par défaut sur le Tréo. Cela me permet, avec un appui long sur la touche menu d’activer / désactiver Bluetooth sans passer par le Panneau de préférences.
Sur le site de hobbysoftware, quelques logiciels freewares sont proposés. Au bas de la page où sont présentés les logiciels, se trouvent quelques petits logiciels très sympa, qu’on peut lancer en utilisant Butler. Voici les applications que j’ai installées et que pour ma part, je lance avec PetitLaunch :
Il y a quelques temps, ont été posées ici des questions sur la réinitialisation (reset) du Tréo 680.
J’ai dû à mon tour effectuer une réinitialisation matérielle (hard reset) de mon Tréo 680. Voilà une petite synthèse des différentes réinitialisations. Pour davantage de précisions, vous pouvez vous reporter au manuel du Tréo 680.
Pour effectuer une réinitialisation logicielle, il suffit de retirer et remettre la batterie. Il est également possible, avec certains lanceurs comme Propel ou LauncherX d’effectuer une réinitialisation logicielle depuis le menu.
Une réinitialisation système s’avère nécessaire lorsque la réinitialisation logicielle ne résoud pas le problème. Elle permet un redémarrage du Tréo sans charger aucune application. On peut ainsi supprimer le logiciel qui cause une difficulté.
Pour l’effectuer, enlever puis replacer la batterie. Dès l’apparition de la barre noire, appuyer sur la touche haut du jogdial et maintenir l’appui jusqu’à l’apparition de l’écran noir. Une fois le problème réglé, il faut réaliser une réinitialisation logicielle (sans cela, il est impossible d’utiliser la fonction téléphone).
Si aucune des manipulations précédentes n’a solutionné les difficultés, il faut alors effectuer une réinitialisation matérielle. Pour ce faire, enlever puis replacer la batterie. Dès l’apparition de la barre noire, appuyer sur le bouton Marche / Arrêt et maintenir l’appui jusqu’à l’apparition de l’écran noir du logo Palm (qui s’affiche après l’écran noir).
La réinitialisation matérielle efface toutes les données et toutes les applications installées. Il vaut donc mieux, si c’est encore possible, effectuer une sauvegarde vers son ordinateur ou vers une carte mémoire.
Après le hard reset, j’ai voulu aller au plus vite ! j’ai effectué une restauration à partir d’une sauvegarde réalisée avec CardBackup. Mais celle-ci réinstallant les mêmes applications qui ont causé les dysfonctionnements, j’ai dû recommencer !
Après ce deuxième hard reset j’ai commencé à réinstaller quelques applications et à synchroniser Calendrier, Tâches, Carnet d’adresses avec The Missing Sync, le logiciel de synchronisation.
Lors de la synchronisation s’affiche sur le Mac le message suivant :
Votre ordinateur de poche sera restauré à partir du contenu du répertoire de sauvegarde.
Voulez-vous poursuivre la restauration ?
Comme j’ai cliqué sur oui, The Missing Sync a réinstallé le Tréo dans son état précédent reproduisant les mêmes symptômes qu’avant les diverses réinitialisations. J’étais bonne pour une réinitialisation matérielle supplémentaire !
En conclusion… pas de raccourci possible ! il faut réinstaller les applications une à une et refaire manuellement toutes les configurations !
A partir du répertoire de sauvegarde sur l’ordinateur de bureau, on peut par glisser / déplacer du répertoire Backup vers The Missing Sync réinstaller la majeure partie des applications.
Cela ne fonctionne pas par exemple pour Agendus ou PocketTunes, qui lancent l’une et l’autre un installateur dès la fin de la synchronisation.
Pour quelques autres applications, comme TealLock, la configuration est parfois un peu complexe. Heureusement qu’aux beaux jours de PDACool, Christine et moi étions assez prolixes 😉 J’ai ainsi pu configurer cette application à mon goût en me reportant aux articles Protéger son PDA ou son smartphone avec TealLock et Protéger son Tréo 680) !
J’ai également utilisé un de mes anciens articles pour configurer, depuis Butler, l’utilisation de Bluefang 😉 Ce dernier permet d’activer / désactiver la connexion Bluetooth depuis la barre de commande.
Du temps de la splendeur de Palm OS (!) et au début de l’emploi des cartes mémoire sur les ordinateurs de poches, nous avions écrit, sur PDACool, plusieurs articles sur les logiciels permettant d’utiliser au mieux les cartes d’extension.
Palm OS ne « voit » par défaut que les applications installées dans la mémoire de l’ordinateur de poche. Pour accéder aux applications situées sur la carte avec le lanceur par défaut, il faut utiliser la liste déroulante qui présente deux onglets, un pour les applications en mémoire et un autre pour celles qui se trouvent sur la carte d’extension.
Des lanceurs, tels LauncherX ou Propel, que nous avions décrits ici (1), permettent de voir l’ensemble des applications, qu’elles soient installées en mémoire ou sur une carte d’extension.
Avec LauncherX ou Propel, notamment, on peut créer des raccourcis d’applications et « leurrer » ainsi le système ; celui-ci croit que les applications sont installées en mémoire interne.
Pour lancer rapidement une application avec une combinaison de touches, j’utilise PetitLaunch (2). Pour que les applications soient visibles de PetitLaunch, elles doivent être soit installées en mémoire interne, soit disposer d’un raccourci.
Avec la nouvelle version de Propel, je peux créer des raccourcis et lancer mes applications sans avoir besoin de repasser par un lanceur.
(1) Les liens de ces anciens articles ne sont plus très à jour.
(2) J’ai fait une description de PetitLaunch ici.
Depuis déjà un moment, j’utilise Agendus comme agenda et Propel comme lanceur, de la société Iambic.
J’avais publié sur PDACool à ce sujet :
Iambic a publié, il y a quelques semaines la version 12 d’Agendus, qui existe pour Palm, Pocket PC, Symbian, BlackBerry ainsi qu’un Desktop pour Windows. Je n’utilise, pour ma part, que la version professionnelle pour Palm.
Après avoir renseigné son adresse mail sur le site de Iambic, on reçoit un message contenant un lien vers la page de téléchargement : on peut soit télécharger un fichier prêt pour le Palm, soit un exécutable pour Windows.
J’ai bien évidemment téléchargé le fichier .prc que j’ai fait glisser dans la fenêtre de TheMissingSync.
Dès la fin de la synchronisatioin, un installateur se lance sur le Palm.
Agendus propose différentes vues : quotidienne, hebdomadaire, quinzaine,.. liste. Il est possible de visualiser les événements à venir pour la semaine, les 7 prochains jours, le mois,…
On peut transformer un événement en tâche, en appel, classer les items par catégorie, y associer des icônes…
Cette version propose quelques nouveautés (la liste complète est visible en anglais sur le site de Iambic) : lorsqu’on édite un item (tâche, rendez-vous ou appel), on peut maintenant insérer directement un contact prélablement saisi dans le carnet d’adresse.
La gestion de projet a fait son apparition, permettant d’inclure tâches, rendez-vous, appels téléphoniques.
Propel est un lanceur facilement personnalisable. Il permet de lancer les applications en saisissant quelques lettres.
Comme pour Agendus, on peut télécharger un fichier prêt pour le Palm. Une fois la synchronisation effectuée entre le Mac et le Palm, un installateur se lance :
On peut choisir l’affichage avec ou sans onglets, avec ou sans fond d’écran, on dispose de vues affichant les contacts, les fichiers audio ou les images. Des commandes vocales sont disponibles.
Les principales nouveautés de la version 2 sont :
(la liste complète est visible en anglais sur le site de Iambic)
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